29-10-2025 23:08 - Visite de Dinar : la famille Cheikh Ayah sort du silence

Visite de Dinar : la famille Cheikh Ayah sort du silence

SHEMS MAARIF - Ahmed Ali Dinar surnommé « Sultan du Darfour » homme d’affaires soudanais, a récemment rendu visite à la famille Cheikh Ayah en Mauritanie. Cette rencontre fait encore débat.

Blogueurs et journalistes demandent une enquête. Quels liens unit Dinar à cette famille influente ? Dans un communiqué, les Cheikh Ayah rappellent leur tradition soufie et leur hospitalité. Ils soulignent leurs liens historiques avec le Soudan et sa communauté en Mauritanie.

La famille assure que Dinar n’a jamais été hostile au Soudan et mène des initiatives de réconciliation. Elle affirme aussi qu’elle ne soutient aucune action pouvant nuire au pays ou à ses habitants.

La richesse de la famille Cheikh Ayah alimente les spéculations sur ses relations avec des personnalités étrangères comme Dinar.





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Commentaires (2)

  • ouldsidialy (H) 30/10/2025 06:45 X

    Les journaleux et blogueurs qui se font procureurs doivent reprendre des études pour cela. Il devient manifeste qu'ils n'en ont pas fait assez, en quoi que ce soit !

  • ouldsidialy (H) 30/10/2025 06:37 X

    Quels liens d'intérêts relient-ils certains blogueurs et journalistes mauritaniens au conflit soudanais? Leur demande d'enquêtes est suspecte. Quand ils sont journalistes, ils ont la liberté d'enquêter eux-mêmes d'un point de vue journalistique. Ors, ils réclament que l'Etat le fasse à leur place. De quel droit ? Selon quelle loi ou règlement liée à leur profession? Quand ils sont blogueur on peut se demander quel rôle ils jouent dans le conflit complexe du soudan. 1) Il appartient à la liberté d'opinion de s'interroger. En revanche, je ne demande à aucune autorité de mener une enquête sur les journalistes qui s'occupent de la sorte de sécurité nationale. Ce n'est pas de mon ressort mais si c'était le cas, je convoquerais quelques journalistes pour plus ample information et je confronterais le prétexte de liberté de la presse avec la réalité du code pénal. Ça commence à bien faire cette liberté délinquante sans obligation de responsabilité!