02-09-2025 09:54 - Un expert de l'ONU va évaluer la situation des migrants en Mauritanie

Un expert de l'ONU va évaluer la situation des migrants en Mauritanie

HCDH - Le Rapporteur spécial des Nations Unies sur les droits de l'homme des migrants, Gehad Madi, se rendra en Mauritanie du 2 au 12 septembre 2025.

Le Rapporteur spécial évaluera les lois, politiques et pratiques actuelles du pays, ainsi que leur impact sur les droits humains des migrants.

Il tiendra des réunions à Nouakchott, Nouadhibou et Sélibabi avec les autorités gouvernementales compétentes, le pouvoir judiciaire, l'institution nationale des droits humains, les agences des Nations Unies, les organisations régionales concernées, les organisations de la société civile, ainsi qu'avec des migrants. Il visitera également les centres de détention concernés ainsi que les centres d'accueil temporaires.

À l'issue de sa visite, Gehad Madi présentera ses conclusions et recommandations préliminaires lors d'une conférence de presse qui se tiendra le vendredi 12 septembre 2025 à 11h30 (heure de Nouakchott) à l'UNICEF. L'accès est strictement réservé aux journalistes.

Pour vous inscrire à la conférence de presse, veuillez envoyer un courriel à hrc-sr-migrant@un.org en indiquant dans l'objet : Demande d'inscription à la conférence de presse du vendredi 12.

Le Rapporteur spécial présentera son rapport au Conseil des droits de l'homme des Nations Unies en juin 2026.





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Source : HCDH
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Commentaires (1)

  • clean clean (H) 02/09/2025 15:10 X

    Il incombe à la mission spéciale des Nations unies de mener ses travaux jusqu’à leur terme, afin de garantir que les auteurs de violations graves des droits humains, y compris les actes de maltraitance systématique infligés aux migrants et aux citoyens, soient poursuivis et sanctionnés pénalement. Les éléments recueillis démontrent que des crimes contre l’humanité ont été commis à grande échelle, au sens de l’article 7 du Statut de Rome, notamment par le recours généralisé ou systématique à des actes inhumains attentatoires à la dignité humaine. En conséquence, des sanctions ciblées et juridiquement contraignantes doivent être envisagées à l’encontre des institutions et responsables directement ou indirectement impliqués, en particulier : le ministère de l’Intérieur, le ministère de la Défense, le ministère des Affaires étrangères, les autorités militaires et sécuritaires, ainsi que la direction générale de la police. De telles mesures sont nécessaires pour garantir l’obligation de rendre des comptes, consacrer le principe de responsabilité individuelle et institutionnelle, et prévenir la perpétuation de l’impunité pour les crimes les plus graves qui concernent l’ensemble de la communauté internationale.