On prend les mêmes et on recommence… c'est fou quand même. Mais au fait, où est passé l’élite noire de I’UDP celle de la vallée, elle a disparu ou quoi ? Pourquoi on choisit toujours NAHA MOUKNASS ? Pourquoi avoir du mal à accepter un autre de I’UDP, on aimerait juste le savoir. Pourquoi NAHA écarte souvent lors de nominations son électorat de la vallée qui est, sans doute le plus important de I’UDP, toujours elle ou rien.

Pire que ça, NAHA MOUKNASS nomme également que sa propre famille dans ses 5 géantes sociétés de pêche qu’elle possède à Nouadhibou, sans oublier sa société de manutention (RIDHA ) à NDB, ses banques ( actionnaire majoritaire de BMS ), ses chevaux de courses en Europe, appartements à Paris, à Ias Palmas , rabat , Casablanca …ETC .

Depuis plus de Vingt cinq ans, NAHA MOUKNASS ministre….pauvre jeunesse , pauvre vallée, pauvre Mauritanie ..

Monsieur le Premier ministre, les remaniements semblent perpétuer un cycle où l'on retrouve souvent les mêmes personnes. L'arrivée de nouveaux visages démotive les anciens et fait place à de nouvelles relations privilégiées de tous horizons. Tout cadre compétent de notre nation refusera probablement un poste ministériel dans cette administration, car le problème ne réside pas dans les fonctions elles-mêmes mais dans la direction. Les citoyens mauritaniens sont lassés de voir des ministres changer d'allégeance et revenir sous les couleurs opportunistes du pouvoir en place. Les ministres les plus critiqués et impopulaires auprès de la population et des fonctionnaires sont maintenus, notamment ceux de l'Intérieur, de l'Hydraulique et de l'Enseignement, parmi d'autres qui n'ont rien fait pour conserver leur poste ou ont tout tenté pour partir. Cela illustre l'incapacité des dirigeants à transformer ce pays en une nation ordinaire. Les nouveaux arrivants préparent déjà les détournements massifs et anticipent leur départ aux frais du contribuable. Occuper un poste ministériel dans ce pays semble être une véritable malédiction.

On reprend et on recommence, telle semble être la valse préférée des gouvernants africains qui semblent répéter les mêmes erreurs et stratégies inefficaces, sans innover ni adapter leurs approches pour répondre aux défis spécifiques de leurs pays.

La Mauritanie naturellement n’est pas une exception. Certains défis du moment pouvant concerner divers domaines sont ignorés ou négligés tels que :

•⁠ ⁠La gouvernance et la gestion des ressources

•⁠ ⁠La lutte contre la pauvreté et les inégalités

•⁠ ⁠La promotion de la croissance économique et du développement durable

•⁠ ⁠La résolution des conflits et la consolidation de la paix

En Mauritanie les politiques fiscales mal pensées et les banques tribales finiront par achever la classe moyenne par un surimposition et un surendettement et tout ça sous l’aval Ce remaniement est un coup d’épée dans l’eau l’injustice sociale , fiscale continuera de plus belle.