Dans cette république des contradictions où les leaders religieux glorifient richesse et famille tout en négligeant leur véritable mission et en adoptant des comportements contraires à nos principes religieux, l'arrestation d'homosexuels en République Islamique n'est pas un phénomène nouveau, tout comme la consommation excessive de stupéfiants dans les quartiers aisés de Nouakchott. Ce domaine, surveillé par des religieux barbus et des imposteurs qui abusent de substances de façon sinistre, bénéficie d'une attention particulière et dispose de relais partout dans le pays, y compris aux plus hauts échelons. Ces individus, nombreux dans notre société et issus de familles prestigieuses, risquent simplement d'être emprisonnés temporairement jusqu'à ce que les femmes influentes du système interviennent pour obtenir leur libération. Ces dernières sont prêtes à tout, y compris à offrir leurs faveurs les plus intimes malgré leur hygiène douteuse, pour faire libérer les détenus homosexuels de classe supérieure. NDB deviendra le point central des rendez-vous avec les représentants de la justice, tous issus de la même communauté, rien ne gène et ne dérange, pourvu que Biram n’en parle pas, comme il s’était tue avec la drogue.

Il était impératif que le ministère de l'Intérieur reconnaisse IRA et son parti RAG, ce qui deviendra possible avec le départ du ministre actuel et l'arrivée d'une personnalité de dialogue. Personne n'est réellement surpris par ces événements récents - des décisions controversées qui semblent refléter la vision polarisante de leur auteur, potentiellement préjudiciable pour la République islamique de Mauritanie. Ce responsable cherche à projeter une image de fermeté sur certains sujets, mais son engagement paraît sélectif face aux défis majeurs comme le trafic de drogue qui affecte tant l'administration centrale que les collectivités locales. La population reconnaît désormais un dirigeant qui semble particulièrement intransigeant envers Biram et IRA, tout en adoptant une position différente dans d'autres circonstances sensibles. Face à cette situation, IRA et RAG doivent persévérer dans leur détermination contre ce qu'ils perçoivent comme une gouvernance limitée à un cercle restreint de fidèles, représentant un chapitre controversé dans l'histoire mauritanienne.

Le parti RAG se distinguera par la force de ses projets et de ses idées, plutôt que par des symboles superficiels ou des héritages familiaux. Cette approche confirme que la vérité se trouve dans la vision de Biram. La crainte est palpable chez nos opposants, particulièrement ceux qui pratiquent l'exclusion comme seule politique et s'inspirent du système de Peter Bohta. Le programme politique du RAG inspire l'inquiétude chez nos adversaires car il est d'une qualité inégalée, même par le parti au pouvoir.

J'ai la conviction profonde que le RAG rassemble les compétences nécessaires pour propulser la Mauritanie vers un véritable développement. Les partisans de la discrimination s'affaibliront progressivement, sans faire de bruit ni laisser de trace dans l'histoire. Le refus de reconnaître témoigne paradoxalement de leur puissance et de leur capacité à mobiliser les véritables amis du peuple contre ceux qui freinent l'évolution du pays. Le système, malgré leurs ressources considérables, ils ne parviennent même pas à maintenir une capitale décente, ce qui révèle les limites de leur gouvernance. Nous en sommes réduits à solliciter l'expertise marocaine pour améliorer notre propre hygiène urbaine.