Le360 Afrique -- Nouakchott a célébré samedi soir, la Fête de la musique sur fond de la 18é édition du festival «Assalamalekum». Cette manifestation a traité des «Migrations, drogue et identités nationales, parlons-en».

Nouakchott a vibré durant la soirée du samedi 21 juin aux rythmes du festival «Assalamalekum» et de la Fête de la musique célébrés à l’Institut Français de Mauritanie (IFM) en présence d’une assistance nombreuse.

Elimane Kane, dit Monza, promoteur du festival, explique que «l’édition 2025 est organisée dans le cadre du programme Heykchotta Nouakchott, Tevragh Zeina, ville créative, initiative honorée d’une mention spéciale du jury du cinquième prix du CGLU des villes durables».



Assalamalekum, qui se déroule du 19 au 30 juin, marqué par des concerts géants et des débats citoyens, est le symbole de la culture hip-hop en Mauritanie.

Leila, musicienne, se réjouit que l’organisation du festival «Assalamalekum» coïncide cette année avec la Fête de la musique. «Je suis ravie de cette prestation devant un grand public. Je fais du rap, mais aussi d’autres genres musicaux, en chantant dans toutes les langues: Hassania, Peul, Soninké et Wolof».

Par Amadou Seck (Nouakchott, correspondance)