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Shems Maarif -- Il faut considérer la récente décision du conseil constitutionnel comme un symptôme de la dégradation de l’Etat de droit dans le pays et une tentative de retour en force de l’Etat profond, tapi dans l’ombre, réactionnaire,arrogant et dictatorial. Le conseil constitutionnel est loin d’être une institution de l’opposition et le Président Diallo Mamadou Bathia est loin d’être un novice en politique. Si donc, ce conseil constitutionnel dont la composition est programmée pour ne jamais se dresser contre l’exécutif, toutes autorités confondues, en arrive à contester la validité du règlement intérieur de l’assemblée sur le terrain des libertés fondamentales, c’est que la situation est gravissime. Celui qui a lu ce projet de règlement intérieur ne peut être que consterné par la brutalité inégalable de son inconstitutionnalité sur nombre de ses dispositions- et pas seulement d’ailleurs sur celles rejetées.
Shems Maarif - Quand les députés du parti Tawassoul ont voté en faveur du nouveau règlement intérieur de l’Assemblée nationale, une partie de l’opposition a crié à la trahison. Certains y ont vu un simple désaccord stratégique ; d’autres, plus lucides sans doute, ont dénoncé une manœuvre politique dangereuse, en rupture totale avec les principes que Tawassoul prétend défendre. Les faits leur donnent aujourd’hui raison. Alors que l’opposition dans son ensemble dénonçait un texte jugé déséquilibré et favorable à la majorité, Tawassoul a fait cavalier seul. En votant pour ce règlement, sans coordination réelle avec ses alliés, le parti a brisé l’unité de l’opposition et envoyé un signal confus : peut-on prétendre défendre la démocratie tout en validant un texte contesté jusque dans ses fondements ? Le parti a tenté de justifier son choix en évoquant « l’intérêt général » et « l’importance du règlement pour les Mauritaniens ».
Shems Maarif - L’arrestation de l’ancien ministre Seyidna Ali Ould Mohamed Khouna continue de faire polémique. Son équipe de défense accuse les autorités d’avoir procédé à un « enlèvement politique », dénonçant une détention arbitraire et sans fondement légal. Selon un communiqué de La Défense , Ould Mohamed Khouna a été interpellé mardi soir à son domicile, situé en périphérie de Nbeiket Lahouach. Il aurait ensuite été placé en détention provisoire sur décision de la chambre d’accusation, sans avoir été entendu ni assisté par ses avocats. La défense fustige une procédure qualifiée de « grave dérive judiciaire », affirmant que l’arrestation repose sur une « dénonciation mensongère » émise par la police politique, accusant l’opposant d’avoir violé un contrôle judiciaire que ses avocats jugent « sans base légale ».
Le Figaro - Les autorités maliennes ont annoncé l’arrestation d’un Français soupçonné de travailler pour le «service de renseignement français» et ont accusé des «Etats étrangers» d’être derrière une tentative de déstabilisation des institutions, selon un communiqué lu à la télévision nationale jeudi. La junte, elle-même arrivée au pouvoir après deux coups d’État en 2020 et 2021, s’est également exprimée sur les dizaines d’arrestations de militaires ces derniers jours, accusés de vouloir renverser le pouvoir. Dans son communiqué, la junte a annoncé «l’arrestation d’un groupuscule d’éléments marginaux des forces armées de sécurité maliennes» qui cherchait selon elle à «déstabiliser les institutions de la République».
Gaza soumis à un génocide sans précédent, avec la complicité-honteuse de l'occident et la soumission humiliante du reste du monde. Quelle désastre pour humanisme ! L'occident à sa tête les États-Unis (à quelques rares exceptions près) a perdu désormais définitivement toute crédibilité aux yeux de l'opinion internationale. Les masques sont définitivement tombés, et leur vraie nature est apparue au grand jour. Le drame de Gaza a réveillé les consciences. Le soutien tacite ou clair en matériel en 'informations apporté à l'état sioniste, pendant même qu'il continue de commettre un génocide à ciel ouvert et au vu et au su du monde entier à Gaza.
Sahara Médias -- Le Parti Tewassoul a déclaré que le pays connait « une restriction sans précédent » des libertés publiques, dans un contexte où les autorités recourent à des « méthodes répressives » telles que l’arrestation et les poursuites judiciaires à l’encontre de militants politiques et de blogueurs en raison de leurs opinions. Le parti a ajouté dans un communiqué que ces pratiques « sont contraires aux principes de la démocratie » et reflètent, selon lui, « une détérioration inquiétante du climat des libertés publiques et de la liberté d’expression ». Le parti a appelé les autorités à « mettre fin aux poursuites sécuritaires et judiciaires visant les opposants politiques et les militants de la société civile », exigeant la libération immédiate de ceux qu’il qualifie de « prisonniers d’opinion », et a insisté sur « la nécessité de respecter le droit à la liberté d’expression pacifique et à l’expression d’opinions sur les affaires publiques, conformément à la Constitution et aux lois mauritaniennes.
La Dépêche -- Le premier Ministre, Mokhtar Ould Diaye, avait misé sur plusieurs personnalités pour faire partie de son gouvernement formé il y a un an. Malgré l’espoir suscité et le suivi régulier des programmes de l’action du gouvernement force est de constater que l’efficacité a manqué à différents ministres. On évoque depuis l’opportunité d’un «redressement » qui pourrait emporter les principaux ministres défaillants. Le premier Ministre, Mokhtar Ould Diaye, n’est sans doute pas le fusible que devrait actionner le président Ghazaouni pour drainer plus d’énergie à l’équipe gouvernementale. Comme le président, le premier Ministre dresse lui aussi le constat qu’il faille aujourd’hui corriger les insuffisances gouvernementales remontées à la surface à la faveur des nombreuses crises dont celle de l’eau et de l’électricité notamment. Quand le gouvernement sera-t-il remanié ? Et quelle ampleur aura ce changement éventuel ? S’il ne tenait qu’aux salons nouakchottois, l’issue de ce changement n’attendrait même pas le retour de vacances des membres du gouvernement.
Le Calame - Que se passe-t-il au FRUD, deuxième force de l’opposition mauritanienne, traversé par comme une espèce de tumulte ces derniers temps, l’adoption par le parlement d’un nouveau règlement intérieur a remis une couche, les divergences sont apparues de plus belle au sein du parti ? Diop Amadou Tidiane : Soyons clairs dès le départ : il n’y a pas de “crise interne” au FRUD. Les rumeurs qui circulent relèvent avant tout d’une campagne de diabolisation, soigneusement montée de toutes pièces et sans la moindre preuve, par certains cercles politiques et médiatiques. Ces derniers préfèrent fabriquer des histoires plutôt que de débattre franchement avec nous sur le fond de nos idées et de nos propositions pour la Mauritanie. Ce qui est présenté comme un “tumulte” n’est en réalité que des débats normaux, sains, dans un parti démocratique qui vit et qui assume la pluralité des opinions en son sein. Dans une formation politique dynamique, il est naturel que les points de vue puissent s’exprimer librement avant de converger vers une position commune.
Mansour LY -- En Mauritanie, la terre n’est pas qu’un espace physique. Elle est mémoire, richesse et promesse d’avenir. Mais quand le droit s’efface, elle devient terrain de spéculation, excluant les plus modestes et fragilisant la cohésion nationale. Rompre avec cette logique exige plus que des discours. Il faut appliquer la loi, protéger le bien commun et redonner à la terre sa vocation première. En Mauritanie, la terre devrait être une promesse. Pourtant, elle est devenue un marché de chasse réservé à quelques initiés. Dans les terres hautes comme dans les quartiers stratégiques des villes, les prix flambent. Les familles modestes reculent toujours plus loin, tandis que l’économie s’essouffle dans une logique de rente qui ne produit ni logements décents ni emplois durables. Cette dérive n’a rien d’un hasard. Elle résulte d’un engrenage bien connu. Des lois qui existent mais restent lettre morte, des réseaux qui organisent la spéculation et un appareil public qui, trop souvent, ferme les yeux. Lorsque la régulation s’efface, la logique marchande occupe tout l’espace, reléguant l’intérêt collectif au second plan.
Eveil Hebdo - La Mauritanie connaît une situation politique caractérisée par la présidence de Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani, réélu en juin 2024, et un contexte sécuritaire marqué par des défis liés au terrorisme et à la criminalité, notamment dans les zones frontalières du Mali. Le pays est également confronté à des défis migratoires et à une instabilité sociale due à des tensions ethniques et économiques. C’est dans ce contexte que se prépare un «Dialogue», dont la gestation dure depuis plusieurs mois à cause, notamment de la réticence de Biram Dah Abeid à prendre part à ce conclave. Arrivé deuxième lors de la dernière élection présidentielle pose des conditions qui n’ont pas été – jusqu’à présent - satisfaites selon lui.
Boubou BA -- J'ai l'habitude de dire que le député quel qu’il soit son bord politique doit être un avocat généraliste, qui plaide pour les causes nobles et légitimes de son peuple plus particulièrement des habitants de sa circonscription. Il est aussi important que le député soit à l'écoute de sa circonscription et arrive à diagnostiquer à temps les besoins et les problématiques de celle-ci. Notre honorable député, Issa DIAWARA est censé être la voix des mauritaniens établis en Europe à l'hémicycle et un pont entre le gouvernement et la diaspora afin de porter les angoisses de celle-ci à l'assemblée nationale. Mais hélas ! Depuis la fin de la mission d'enrôlement le 17 février 2024 laissant les mauritaniens de la diaspora dans leur détresse administrative, aujourd'hui plus 3/5 de mauritaniens de la diaspora se retrouvent dans l'illégalité administrative...
Pr. ELY Mustapha -- Les dénonciations hélas ! jugulées de la corruption, des malversations et des détournements des ressources halieutiques ...au vu et au su de tous y compris des gouvernants mauritaniens… ne portent que sur une infime partie visible de ce qui est le champ immense de lobbies internationaux à ramifications de mafias locales en connexion avec des investisseurs et armateurs étrangers pour un pillage organisé des ressources halieutiques du pays ( et pas seulement ce secteur d'ailleurs - voir mon livre blanc sur "la corruption en Mauritanie") . Cet article prend ouvertement la défense du dénonciateur à juste titre, Ali Bekar, et contribue, au-delà des preuves, qu'il a lui-même et sa défense versées au dossier de l'affaire, à montrer qu'une justice sous pression peut cautionner l'arbitraire même lorsque les preuves ...sont évidentes, tangibles et rapportables. Le pillage des pélagiques... Notre pays se trouve au cœur du courant des Canaries, avec des stocks de petits pélagiques convoités. L’accord de pêche UE–Mauritanie, en vigueur du 16 novembre 2021 au 15 novembre 2026, organise l’accès des flottes européennes et prévoit une contribution annuelle totale de 60,8 millions d’euros.
AMI -- Le Conseil Constitutionnel a statué mercredi sur la conformité du projet de règlement intérieur de l’Assemblée nationale à la Constitution. Il a, à cet effet rendu la décision suivante : “Le Conseil Constitutionnel, Vu: – La Constitution du 20 juillet 1991 révisée, – L’Ordonnance n° 04-92 du 18 février 1992 portant loi organique relative au Conseil Constitutionnel modifiée, – L’Ordonnance n° 028-91 du 07 octobre 1991 portant loi organique relative à l’élection des députés à l’Assemblée Nationale et ses textes modificatifs.
RFI - Le projet de Benyamin Netanyahu de prendre le contrôle total de la bande de Gaza a été approuvé par le chef de l'armée israélienne ce mercredi 13 août. Il y a quelques jours, l'ONU, dans un communiqué, jugeait ce plan « terrifiant » et mettait en garde contre une « catastrophe à venir ». Un projet qui passe notamment par la prise de contrôle de sa plus grande agglomération, la ville de Gaza. Le chef de l'armée israélienne, le lieutenant-général Eyal Zamir, a « approuvé » le nouveau plan des opérations militaires « à venir à Gaza », indique un communiqué de l'armée publié ce mercredi, rapporte l'Agence France-Presse. « Le chef d'état-major, le lieutenant-général Eyal Zamir, a tenu aujourd'hui (mercredi) une discussion au cours de laquelle il a approuvé le cadre principal du plan opérationnel de l'armée dans la bande de Gaza », selon le texte qui ne donne cependant aucune précision sur le calendrier.
Sahara Médias - Le ministère de l’Intérieur a lancé les travaux de la commission technique chargée de suivre le processus de transfert des compétences aux collectivités territoriales, en présence de représentants des ministères de la Santé et de l’Éducation, ainsi que d’experts du Conseil national de la décentralisation et du développement local.Le ministre délégué auprès du ministre de l’Intérieur, chargé de la Décentralisation et du Développement local, Yacoub Ould Salem Fall, a déclaré que la création de cette commission technique s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre du processus de décentralisation. Il a souligné que cette opération se concentrera dans un premier temps sur le transfert des compétences de trois secteurs prioritaires aux collectivités locales, à savoir l’éducation, la santé et l’environnement.
La Dépêche - Décidément, la nouvelle réforme du Règlement intérieur de l’Assemblée nationale n’a pas livré tous ses secrets.Le Conseil constitutionnel vient, en effet, révèlent nos confrères de Alakhbar, d’annuler plusieurs dispositions du règlement intérieur de l’Assemblée nationale, estimant qu’elles contreviennent à la Constitution, notamment en ce qui concerne la protection juridique du président du Parlement et des membres du gouvernement. Dans sa décision, le Conseil a particulièrement pointé du doigt des articles visant à « immuniser » certaines hautes personnalités de l’État contre les critiques, considérant que cela portait atteinte à la liberté d’expression des députés et limitait leur rôle de contrôle sur l’action gouvernementale – un principe fondamental garanti par la Constitution.
UFP -- Tiébilé Dramé, président du parti PARENA du Mali, un grand patriote de ce pays frère, compagnon de lutte intransigeant, solidaire de tous les démocrates du continent, spécialement ceux de notre sous - région , s'est éteint aujourd'hui 12 août 2025, à Paris, des suites d'une maladie contre laquelle il a lutté courageusement durant de longs mois. Combattant infatigable des causes justes, d'une hauteur de vue, d'une perspicacité, d'une chaleur humaine et d'une humilité exceptionnelles, Tiébilé a marqué d'une empreinte indélébile le long combat du peuple multinational malien, pour l'unité, la démocratie et la juste solution des contradictions au sein du peuple pendant plusieurs décennies. Depuis la terrible période de la clandestinité de l'ère des partis uniques et des régimes militaires contre lesquels il s'est dressé dès son adolescence, comme élève et étudiant, tout en combattant l'extrémisme et l'esprit de division du peuple. Il va jouer un rôle crucial dans l'émergence et le développement des luttes démocratiques nationales dans son pays et contribuera à la naissance du vaste mouvement qui va balayer le régime militaire au début des années 90.
Le Calame -- La vidéo a fait le buzz sur la Toile, la semaine dernière. On y voit un motard étranger, caméra vissée sur le casque, slalomer entre les trous béants de la route Nouadhibou-Nouakchott (qu’il serait injuste de nommer nids de poule, tant ils sont énormes), faire des commentaires genre « la route la plus mauvaise du Monde » et plaindre les nombreux usagers de cet axe obligés de vivre un véritable calvaire. Et pourtant, elle tourne ! Ce qu’a divulgué ce blogueur du dimanche n’est que la stricte vérité. Nos routes sont dans un état déplorable. Si l’on excepte la route Nouakchott-Rosso construite par une société française, sur financement de l’Union européenne et donc selon de strictes normes, les autres se détériorent à la vitesse grand V. Les axes Nouakchott-Nouadhibou, Akjoujt-Atar, Nouakchott-Boutilimit, Aleg- Boghé et autres n’ont plus de routes que le nom. Il suffit de demander à ceux qui les empruntent tous les jours pour se rendre compte que le tourisme intérieur cher à notre Président ne sera pas de tout repos.
Shems Maarif -- L’ancien ministre et homme politique Seyidna Ali Ould Mohamed Khouna, président du parti Al-Ahd (parti non reconnu officiellement), a été arrêté mardi dans sa région natale, au cœur du Hodh Ech-Charghi, et conduit vers une destination inconnue, selon les déclarations de son fils. Dans une publication sur Facebook, Mohamed Khouna, fils de l’ancien ministre, a dénoncé ce qu’il qualifie de « nouvel enlèvement politique », affirmant : « La police politique récidive pour la quatrième fois. Cette fois, à plus de 1300 kilomètres de Nouakchott, mon père a été enlevé de sa brousse et conduit vers une destination inconnue. »
Essahraa -- Le gouvernement encourage tous les blogueurs et journalistes engagés dans la dénonciation des violations et disposant de preuves irréfutables attestant leurs déclarations, a affirmé hier mardi, le porte-parole du gouvernement, Houssein Ould Meddou, au cours de son intervention faite dans le cadre de la conférence de presse organisée par des ministres. Le gouvernement encouragera et honorera toute personne dénonçant des violations ou des actes de corruption, et punira ceux dont il est prouvé qu'ils ont enfreint la loi, a déclaré le ministre. Il est indispensable de faire la distinction entre la dénonciation des violations et l'atteinte à la réputation du pays, a-t-il dit. Toujours selon lui, le pays jouit d'un niveau de liberté d'expression très élevé et tous les mécanismes, y compris numériques, visant à encourager la liberté d'expression et à signaler les violations sont opérationnels.
Shems Maarif -
Quand les députés du parti Tawassoul ont voté en faveur du nouveau règlement intérieur de l’Assemblée nationale, une partie de l’opposition a crié à la trahison. Certains y ont vu un simple désaccord stratégique ; d’autres, plus lucides sans doute, ont dénoncé une manœuvre politique dangereuse, en rupture totale avec les principes que Tawassoul prétend défendre. Les faits leur donnent aujourd’hui raison.
Shems Maarif -
L’arrestation de l’ancien ministre Seyidna Ali Ould Mohamed Khouna continue de faire polémique. Son équipe de défense accuse les autorités d’avoir procédé à un « enlèvement politique », dénonçant une détention arbitraire et sans fondement légal.
Le Figaro -
Les autorités maliennes ont annoncé l’arrestation d’un Français soupçonné de travailler pour le «service de renseignement français» et ont accusé des «Etats étrangers» d’être derrière une tentative de déstabilisation des institutions, selon un communiqué lu à la télévision nationale jeudi.
Gaza soumis à un génocide sans précédent, avec la complicité-honteuse de l'occident et la soumission humiliante du reste du monde. Quelle désastre pour humanisme !
Eveil Hebdo -
La Mauritanie connaît une situation politique caractérisée par la présidence de Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani, réélu en juin 2024, et un contexte sécuritaire marqué par des défis liés au terrorisme et à la criminalité, notamment dans les zones frontalières du Mali. 
RFI -
Le projet de Benyamin Netanyahu de prendre le contrôle total de la bande de Gaza a été approuvé par le chef de l'armée israélienne ce mercredi 13 août. Il y a quelques jours, l'ONU, dans un communiqué, jugeait ce plan « terrifiant » et mettait en garde contre une « catastrophe à venir ». Un projet qui passe notamment par la prise de contrôle de sa plus grande agglomération, la ville de Gaza. 
Sahara Médias - Le ministère de l’Intérieur a lancé les travaux de la commission technique chargée de suivre le processus de transfert des compétences aux collectivités territoriales, en présence de représentants des ministères de la Santé et de l’Éducation, ainsi que d’experts du Conseil national de la décentralisation et du développement local.
La Dépêche -
Décidément, la nouvelle réforme du Règlement intérieur de l’Assemblée nationale n’a pas livré tous ses secrets.
